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Mercredi 26 décembre 2012
O Jésus, Fils Bien-Aimé du Père !!!
Bonjour, petit frère,
O Présence cachée,
Dans le cœur de l' âme en éveil
O Présence cachée,
Tu te dévoiles en mon âme,
O doux Agneau,
Tu me livres Ta Béatitude....
O douce Présence animant la vie de l' âme,
Tu l' effleures et la caresses,
Tu l' oins de l' onction du ciel,
Tes mains lui disent ta paix,
Ton cœur lui dit Ton Amour,
O Présence cachée,
Tu me crées pauvreté,
Tu me pares de la robe du Lys,
Et Tu m' ouvres les cieux....
O Présence cachée,
Dans les mains se joignant pour la prière,
O Présence cachée,
Tu acclames en mon âme la beauté du Père,
O doux Messager,
Tu embaumes mon cœur de Ta Présence,
Tu me cisèles en cette pauvreté d'argile,
Tu me montres le ruissellement de Ta Miséricorde,
O Présence cachée,
Flamme d'amour si ardente,
O Lumière eucharistique,
O Amour Christique,
Sans Toi, mon tendre Bien-Aimé,
Je ne peux vivre !!!
O Présence cachée,
illumine mon âme de Ta Vie !!!
Ébranle mon cœur assoiffé de Toi,
O doux Amoureux,
O Présence cachée me souriant,
O Présence cachée,
Te voir en tous instants, en toutes choses,
Tu viens en moi caché,
Te devinant par le cœur de l' Enfant de Bethléem,
Te révélant au Cénacle,
Pour l' Oblation Sublime sur la Croix
O Présence cachée,
Nous dévoilant le tombeau vide,
En une Résurrection visible en l' âme !!!
O Présence cachée,
En Toi, je réside en toute humilité
Au cœur de la grâce trinitaire,
O Présence cachée,
Le chemin me mène au Ciel,
Pour l' éternité en éternité....
O Présence cachée,
Que Dieu me donne,
Que Dieu me dispense,
Que Dieu me révèle,
O Présence cachée,
Mon Délice d'Amour et ma Tendresse !!!
Ma béatitude et ma solitude infinies,
Qu'en Toi, j'accomplisse la volonté du Père !!!
O Présence cachée,
Cache-Toi en mon âme,
Qu'elle soit ton Refuge et ton Repos !!!
Déo Gratias !!!
N'est-ce pas, petit frère ???
Marie-do
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En Jésus tout amour ,
« Ô Présence cachée »
Tu viens effleurer mon visage ,
Et mon visage te cherche.
Mais il n’a pas à te chercher au dehors ,
Puisque tu es à l’intérieur de moi ,
Dans mon oratoire silencieux.
Alors mon âme tressaille d’allégresse.Elle sait que tu vas venir la nourrir.
Les sens ne décèlent pas ta présence .
Mais l’âme le sait !
Ta visite est écrite dans son cœur depuis les origines.
Dieu savait que tu désirais son Fils .
Tu le voulais en toi !
Profondément ancré en ta toute petite âme.
Alors Il a gravé sa présence dans ton âme.
Tu sais qu’Il grave en toi tout ce que tu éprouves ?
Afin que vous soyez les seuls à reconnaître les signes.
Les signes de l’amour sont destinés à ceux qui comprennent ton amour.
Qui aiment et qui se donnent .
Alors la présence réelle de l’Aimant vient habiter ton âme.
Elle entend que ta main se pose sur la coupe .
Furtivement comme on donne un baiser .
Un tout petit baiser sur les joues d’un enfant.
Alors elle vient saisir la coupe .Ta présence est dehors en la coupe toute douce.
Ta présence est dedans, sang précieux du salut .
L’Esprit te prend la main .
Et tu bois à la coupe.
La présence passe en toi .
Et tu deviens présence .Elle sent le corps divin se murmurer en elle .
Il s’accomplit en l’âme .
L’âme sent le corps du Christ fondre dans l’être tout entier .
La créature du Père rejoint les origines .
Elles est amour de la genèse .
Elle est lumière du premier jour.
L’être est éclairé de Dieu .
L’âme tressaille de bonheur .
L’allégresse de l’amour descend jusqu’au fond de ton âme .
L’Amour se fait présence .
Et tu deviens présence en Jésus tout amour.
Instant inoubliable que la présence réelle.
Il nous avait bien dit qu’Il serait avec nous jusqu’à la fin de l’âge .
Alors au nom de son amour pour les âmes du Père .
Il nous donne l’Esprit qui nous fait vivre en Lui .
Et le divin Esprit montre Jésus au monde.
Il élève le corps .
Il présente la coupe .
Il nous offre son corps .
Et l’âme prend le corps .
Présence divine et éternelle.
L’Amour ne peut être masqué.
La promesse trahie .
« Ceci est mon corps offert pour vous »
Ce qui fut accompli à la cène se renouvelle chaque fois .
Chaque fois qu’une âme aime de l’amour de la Croix.Alors amoureusement l’âme entre dans la promesse.
« Faites ceci en mémoire de moi »
Et ce sera ainsi jusqu’à la fin des temps.
Daniel en Jésus Eucharistie
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Samedi 25 décembre 2010
Ma douceur d'aimer, Te voici petit enfant
.....En l'Amour du Seigneur....
Bonjour, petit frère,
Ma douceur d'aimer, te voici petit enfant,
Enfant emmailloté dans une simple mangeoire
Sous le regard bienveillant de Joseph,
Et dans le doux coeur de Marie,
Ta Mère du ciel et de la terre…
Tu es déposé là comme le trésor
Le plus suave et le plus précieux du cœur
D'un Père éternel,
Toi le ministre du Père,
Tu te fais doux enfant
Pour que, sur la terre
Les hommes entendent
L'Évangile de la Vie...
Tu viens là, ma douceur d'aimer,
Tu ne dis rien,
Tu accueilles en tes mains,
Nos riens si simples
Que Tu transformes
Afin qu'ils magnifient nos cœurs
En ton sourire d'enfant
Tu es bien-aimé, ô doux Jésus couché sur la paille
Que sont les fétus de nos touts,
Ces fétus qui sont nos cœurs si fragiles...
Ô Lumière douce de l'adoration
Tes mains se tendent vers nous,
En un tabernacle ouvert
Aux vents de la plaine…
La porte de l'étable est ouverte
Sur l'adoration toute première...
Tressaille d'allégresse, ô doux Enfant
Les humbles se penchant vers ton berceau
Pour recevoir le Baiser de l'Amour
S'anéantiront plus encore,
Ô exalte de joie, doux Enfant
Les pauvres se donnent rendez-vous
Au murmure de ta voix…
Alors, Tu prononceras leur nom,
Tu leur diras pourquoi, ils sont tant aimés,
Tu leur diras la joie d'aimer,
Et la liesse que Tu as de les aimer,
Tu leur diras ta Présence Réelle
Tu leur diras : " Pose ton cœur en la plénitude
Et en la Béatitude de Mon Amour..."
Ma douceur d'aimer, Te voici petit enfant,
Et nous t'aimons infiniment,
Tu sais cet amour P
Puisque Tu viens le combler
Tu sais l'Amour qui nous habite
Puisque Tu nous en donnes davantage
Tu te fais petit Enfant
O ma douceur d'aimer
Fruit du Père qui conduit au fils
Et du Fils à L'Esprit,
Ô ma Trinité d'amour
Que je vous aime tous trois
Vous qui en ce jour de lumière
M'offrez le don le plus saint,
L'Amour le plus pur,
L'Amour le plus véritable
En cette nuit de la Nativité
Ô ma douceur d'aimer
Tu te crées petit Enfant,
En mon âme...
Je demeure dans cette solitude
Que Tu m'offres de vivre...
Afin de m'abandonner ce jour
A l'Adoration plénière...
Je ne désire que le silence près de Toi
Pour être totalement offerte
Sur l'Autel de Ton Amour...
N' est-ce pas, petit frère
Marie-do
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23 décembre 2010
A la porte de la Crèche, Jésus
.....En l'Amour du Seigneur.....
Bonjour, petit frère,
A la porte de la Crèche, Jésus,
Ce soir
Frapperont tous les pauvres
Qui se connaissent en toi,
Tous ceux qui vivent du désir ardent
De voir brûler le monde de ton Amour,
Tous ceux qui viendront dire
La joie d'aimer,
La joie de croire
La joie d'aller vers le Père,
Toi Jésus, couché sur la paille fraîche
Tu inviteras tous ceux
Qui ne sauront pas les longs discours
Des intellos de cette terre,
Tous ceux qui auront les mains et les pieds blessés
Par les plaies de la Croix,
Le cœur souffrant de l'indifférence du monde
Pour la souffrance du Père,
Tous ceux qui devineront
Le souffle de l'Esprit
En le chant de leur cœur,
Tous ceux qui s'agenouilleront humblement
Devant le tabernacle ouvert,
Tous ceux qui, en leurs mains ouvertes,
Puis fermées sur l'Hostie élevée
Recevront Jésus...
A la porte de la Crèche, Jésus
Ce soir
Frapperont tous les bergers
De la terre
Qui joueront de la flûte et du piano,
Tous les Anges bienveillants
Qui chanteront sur la lyre
Le cantique des cantiques
Ou le Psaume du roi David,
Ou encore un " Gloria in excelsis Déo "
Qui emplira la terre d'amour et de paix...
Tous les paysans qui moissonnent le blé
Qui, un jour, sera le pain rompu
Et deviendra le Pain de la Vie,
Tous les vendangeurs
Qui fouleront les ceps de la terre
Et qui récolteront un vin rouge,
Qui sera un jour le Sang précieux versé...
Tous les prêtres qui, avec un bonheur fou,
Lèveront les mains
Pour le seul amour de Jésus Hostie,
Tous ceux qui se lèvent pour prier
Dans le silence de leurs oratoires,
Tous ceux qui se taisent et qui souffrent
De vivre la Croix,
Pour allumer la Résurrection....
A la porte de la Crèche, Jésus,
Ce soir,
Etincellera une lumière du ciel
Une lumière que nul ne vit,
Plu belle que sur la terre de Judée
Et qui allume en un scintillement,
L'Amour éblouissant
Le cœur des enfants du Père
Qui pourtant se donnent de mourir d'aimer
Le regard doux et bienveillant
De cet enfant couché là
Sur les genoux de sa mère...
Alors, que pourrions-nous offrir
A Jésus si pauvre et si démuni ???
Mais rien, RIEN,
Si ce ne sont nos touts abandonnés
En nos RIENS si petits
Dans nos mains
Pour les déposer sur les fétus de paille
De sa mangeoire
Ô mon âme
Vois l'Emmanuel
Qui se fait don en toi en cette nuit divine
Il est Jésus tout amour...
Ô mon âme
Sa naissance est annoncée, et regarde
Il est là, l'Emmanuel
En cette simple étable ouverte aux vents,
Entends le chant des Anges,
Ô mon âme
Allume la joie au cœur des bergers
Cette joie humble des gens simples,
Alors, dans la louange, contemple-le
Ce tout petit Emmanuel-Dieu
Qui ne désire être qu'adoration
Dans le cœur des mendiants
D'amour...
Ô mon âme
Penche ton cœur sur ce berceau,
Là où dort l'Enfant Emmanuel
Offre-toi à lui comme un don,
Non un holocauste,
Tu recevras la brûlure indicible de son amour
Puisqu' Il est ton Sauveur...
Son amour n'est que Don,
Il ne peut-être que Don
Là où tout commence,
Là où rien ne s'achève
Là où est la première des adorations,
Où se continue l'adoration perpétuelle
Ô mon âme,
L'amour divin se donne sans cesse,
L'amour divin s'abandonne
Là...
Sur la terre de Bethléem,
Qui est la terre de la crèche de notre cœur...
Alors, allons à Bethléem,
Restons à l'écart
Pour juste deviner le sourire
De cet Enfant-Roi
Qui se découvre en un grand mystère
En notre âme...
Ô mon âme
Va à la Crèche...
Au silence de la contemplation
Ô vous, mes trois,
Vous tous,
Venez
Et adorez ce tout petit-enfant
Dans un cœur-à-cœur
Qui se désire au Tabernacle
Il est Emmanuel
En ce cœur ouvert
A la Présence Réelle
S'il vous plait...
Aimons-Le et laissons-nous aimer
Par Celui qui se fait tout Amour
N' est-ce pas, petit frère ???
Marie-do
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Dimanche 4 décembre 2011
Il ne faisait que passer... conte de Noël...
......O Jésus, Haut, puissant, et doux Seigneur !!!
Bonjour, petit frère,
Il ne faisait que passer...
Il ne faisait que passer... sur le chemin de la vie,
Il ne faisait que passer,
Il ne faisait que dire l'Amour,
Message splendide donné au monde,
Message d'amour éperdu pour les hommes qui ne l'entendirent pas...
Alors, à force de ne pas être écouté,
Il partit un jour,
Harassé, et désappointé par ce monde qui s'absentait en désuétude...
Il partit sans un regard en arrière, sans se retourner...
Il partit sans cueillir une fleur,
Il partit sans tendre la main,
Il partit sans rien emporter, et pourtant....
Il avait essayé, recommencé sa vie ailleurs,
" Il avait tenté le coup ", comme l'on dit parfois
" Par maintes fois, remis son ouvrage sur le métier...."
Mais voilà...
Il s'était pourtant promis qu'un matin nouveau le saluerait,
Qu'un chant d'oiseau l'accompagnerait...
Qu'une aurore naissante colorerait son cœur
D'un orangé flamboyant, qu'un incendie se déclarerait là...
Mais...Rien...
Plus rien n'avait allumé son âme au cœur de ce monde...
Oui, il avouait... il avait songé qu'un jour,
sa vie s'habillerait de lumière, de feux de la rampe,
qu'il serait devenu célèbre....
Emmenant sa peine et sa misère, il partit....
Il parcourait les montagnes, les vallées,
les villes et les bourgs, dormant au pied des sapins,
lorsqu' aucun refuge ne se présentait devant lui...
Il voguait sur les mers, sur les océans,
dormait dans la soute d'une embarcation quelconque,
ou lorsqu' il se trouvait embauché, sur le pont d'un paquebot
en partance vers des terres lointaines...
Il travaillait de ses mains, durement, souvent...
Il traversa les tropiques et les pôles,
Il s'immergea parfois, ou s'ensabla là encore,
peu importe le chemin de demain, pour celui d' hier,
Pas à pas, il avançait sous le ciel étoilé...
Il lui arrivait de coucher à la belle étoile, prés d'un ruisseau,
où un saule pleureur lui murmurait le souffle du vent...
Sous le ciel, les étoiles,
Sous le ciel, le soleil...
Les étoiles......
Pas un nuage à la voûte des Cieux,
Il voulut les compter...
Merveilles des cieux, qui pour lui seulement se donnaient à contempler... là...
Une, deux, trois, mille, dix milles, cent milles,
Elles étaient impossibles à dénombrer...
Il continuait de compter les étoiles,
lorsque l'une d' entre elles, scintilla plus que toutes...
Il ne comprit pas cette clarté qui, soudain, l'enveloppa...
Se levant, il demeura là, à en admirer la luminosité splendide...
Luminescence ravissante, qui lui réjouissait le cœur et l'âme...
Se devait-il de croire à un mirage ???
Il était là, dubitatif, face à cette lumière qui l'habitait de plus en plus......
Il se sentit bondir de joie, tressaillir d'allégresse,
sans comprendre réellement pourquoi...
Il se vit commettre un pas,
puis un deuxième, un autre, puis un autre encore, et ainsi de suite...
Son pas se faisant plus rapide, il se croyait pousser des ailes...
Il pleurait d'un bonheur nouveau et irréel,
sans comprendre le pourquoi du comment...
Pourtant, il ignorait où le conduisait ses pas...
Il partit, peu importe,
l'Etoile le guidait et éclairait sa route,
Il traversa des ponts, des contrées lointaines...
Son pas se faisant plus ferme,
Il exprimait un bonheur joyeux,
Et il devinait, en son cœur, une présence indicible,
Il ne comptait ni son temps, ni sa fatigue...
Il allait, voilà tout...
Savait-il le secret de l'Etoile ???
Le devinait-il ???
Entrait-il dans le silence qu'un autre, plus grand encore, l'envahissait...
Il ignorait s'il avançait, ou reculait, dans les temps anciens ou nouveaux...
Rien, en ce monde, ne l'attirait...
Il guettait l'aurore, parlait-il à cette Etoile ???
Nul ne le savait.... et nul ne le sut, jamais .....
Il se remettait en route...
Et il veillait simplement...
Une chose seule l'inquiétait.....
....C'était de manquer le scintillement particulier de son Etoile...
Il avait trouvé en elle une alliée, une amie, une compagne,
une sœur fidèle qui le comprenait, avec qui il partageait toutes choses...
Sœur fidèle et discrète,
Prés d'elle, il fit du chemin...
Du nord au sud, d'est en ouest,
De l'Orient en Occident, et vice-versa
Il oublia ainsi sa solitude, sa lassitude, sa fatigue,
Il avait quelqu'un à aimer, et il était aimé...
Il suivait son Etoile, d'instinct....
Elle le conduisit chaque jour vers un horizon nouveau...
Un soir pourtant, il s'arrêta...
Au cœur d'une plaine d'un pays, à lui inconnu...
Pourtant....
Quelque chose l'intriguait...
La luminosité de l'Etoile !!!
Elle brillait d'un éclat nouveau...
Dans un ciel resplendissant de lumière...
Il trouva refuge, alors que la nuit était glaciale, dans une pauvre étable.
Il découvrit là une famille qui s'abritait,
et qui l'accueillit d'un sourire bienheureux...
A leurs pieds, un Tout Petit venait de naître...
Il se souvint alors de cette parole de Dieu,
qu'il avait entendu, il ne savait plus où...
" Que des ténèbres resplendisse la Lumière"
A ces mots, en lui, l'Etable s'illumina...
L'Amour embrasa son cœur, et enivra son esprit tout entier...
Devant cet Enfant nouveau-né....
Et là, il se sentit tout humble
devant le mystère de la naissance d'un Tout-petit...
Au jardin de son cœur,
L'Enfant nouveau-né offrit un lys...
Au jardin de son cœur
Un parfum d'espérance le subjugua,
Et ceignit son âme...
Parfum d'amour pour ce tout petit mendiant
restant contemplatif devant tant de merveilles...
Parce que, devant le sourire de ce Tout Petit Enfant,
il devenait beauté céleste en toute humilité...
Voici le miracle en somme,
C'est que lorsque le conte est vrai,
La porte s'entrouvre sur l'Amour caché,
Amour d'un Enfant Dieu qui étonne,
Sur le champ du cœur de l'homme,
Voici le miracle en somme,
C'est que lorsque la chanson est belle,
Elle adoucit l'Amour blessé,
Amour d'un Enfant révélé au monde
Dans une pauvre étable,
Sur la plaine de Judée.....
C'est que Dieu étonne
Lorsqu' Il anime une âme d'amour pur...
Celle-ci ne peut qu'aimer d' AMOUR VERITABLE
...Déo Gratias... !!!
N' est-ce pas, petit frère ????
Marie-do
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En Jésus tout amour,
Affective douceur de ce conte,
Il n'y a qu'à écouter et se laisser en allant vers la crèche.
L’intelligence humaine nous conduit dans le domaine de l’imaginaire.
L’Intelligence des Ecritures conduit l’âme dans les tréfonds de Dieu !
Là où tout est Amour !
Alors, laissons-nous conduire vers Celui que nous aimons par-dessus tout,peut-être à partit d’un conte, sachant que tout débouche
sur Jésus puisqu'Il est notre seule raison de vivre en notre patrie.
Daniel en Jésus Eucharistie
1 commentaire -
« Si tu savais le don de Dieu »
Paroles bénignes ?
Paroles usées car tant entendues ?
Paroles enfermées dans l’Evangile ?
Mais si tel est le cas alors …
Sortons de nos cocons !
Habillons nos âmes de la Croix !
Portons la nôtre près de celle du sauveur !
La voilà entre les larrons !
La voilà portant notre faute !
« Celui qui est doux et humble de cœur » nous entend venir !
L’accusateur accuse !
Le sauveur écoute et répond à la demande de pardon.
« Ce soir tu seras avec moi dans le paradis »
Et le monde reconnait en Lui le Fils de Dieu !
Quelle avancée !
Le monde L’a reconnu !
Le monde tourmenté, agité et souffrant !
Celui des chefs et des nantis s’en est écarté !
Cela ne se fait pas de regarder le monde souffrir !
Cela ne se fait pas de bouleverser ses rendez-vous pour aller vers
celui qui attend !
Mais savez-vous où réside cette attente ?
Au pied de la Croix !
« ....Prends ta croix et suis-moi…. »
Là où le pauvre, le souffrant ,
le démuni entend Jésus demander à boire ….
Là où VIT le don de Dieu ….
Daniel en Jésus Eucharistie
1 commentaire
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